[The Elder Scrolls] Fanfiction "L'homme sans sanctuaire"

Vous ici ? Encore ? Mais n’avez-vous donc rien de mieux à faire ?

(ahem) Permettez-moi de vous présenter mon dernier petit one-shot en date, j’ai nommé : L’homme sans sanctuaire !


Titre de la fic : L’homme sans sanctuaire (et sous-titre : 聖域のない男, seiiki no nai otoko)

Type : side-story, dont l’intrigue se passe pendant The Elder Scrolls V: Skyrim, disons entre la quête Mauvaises fréquentations et Les aléas du voyage.

Personnages principaux : Cicéron (encore lui ? mais c’est pas vrai !), la Mère de la Nuit
Personnages secondaires : Garde du Clos, Garde de Blancherive, Vantus Loerius et sa femme, Curwe.
Mention des membres de la Confrérie Noire, dont Astrid ou encore Alisanne Dupré ; ombre du Penitus Oculatus qui plane sur la tête des personnages.

Genres : drame (vous me connaissez à force), hurt, et deathfic ; voyage, aussi, et abandon.

Rating : M (ça parle d’un assassin, donc il y a mention de meurtres et, disons, de cadavres en décomposition)

Présentation :

Après avoir quitté Cheydinhal pour s’installer dans un sanctuaire abandonné à Aubétoile, Cicéron, le Gardien de la Mère de la Nuit, se voit contraint de partir pour rejoindre celui d’Épervine, le dernier encore actif.
Apprêtant le cercueil sur une charrette tirée par un cheval, le voilà qui part sur les routes de Bordeciel pour un long voyage éprouvant, dont l’issue reste incertaine…

Note de l’auteur : Vous me connaissez à force, je ne peux décidément pas laisser ce pauvre Cicéron tranquille ne serait-ce qu’un mois. Et donc me revoilà avec encore un OS sur lui et cette fois-ci, de ma plume (on repense à C’est naturel de rire, pour un bouffon qui a aussi été mis en ligne ce mois-ci :shushing_face:).
Cette idée m’est venue courant décembre, et c’est à cette même période que j’ai commencé à l’écrire (tout juste après avoir fini d’écrire Deux ombres, tiens). Et j’ai fini de rédiger tout ça il y a quelques jours ! Une petite relecture et hop, je vous l’offre sur un plateau (de bois, puisqu’ici on a ni argent ni or, désolée, restrictions budgétaires) !
Enfin bref, connaître le fandom est recommandé, mais je pense qu’on peut tout de même lire sans être incollable dessus. :thinking: J’espère que j’aurai quand même su faire transparaître la folie de mon bouffon préféré à travers ce récit ! (et si toutefois ça n’a pas marché, je sais ce qu’il me reste à faire : écrire une nouvelle fanfic sur lui ! :smiley:)
Bonne lecture ! :stuck_out_tongue:

Lien : L’homme sans sanctuaire

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Wouah !
Tu as l’air de vraiment t’y connaître dans le fandom ! J’aime bien Skyrim, mais j’avoue que je crois que je ne connais pas assez le fandom, tes histoires ont l’air vraiment pointue là-dessus. Ce n’est pas faute d’avoir passer du temps avec Cicéron durant mes balades dans Bordeciel ! :joy:
Je voulais aussi savoir comment tu avais fait ta couverture? J’ai épluché pas mal de sujets dans le forum du site à propos des couvertures, mais je ne me souviens plus d’un site en particulier…
Bref, en tous cas, je vais essayer de suivre ton histoire, qui m’a l’air vraiment bien faite et recherchée. :wink:

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C’est vite dit ! J’y ai longtemps joué, mais je découvre toujours des petites facettes du jeu !
Par exemple, j’y joue depuis 2012~2013 environ, mais je n’ai tenté la voie du massacre de la Confrérie Noire qu’il y a quelques mois… :smiley: (et je l’ai tout de suite regretté) Ou encore, je n’ai jamais fini la Guilde des Voleurs… :stuck_out_tongue:
Après, très souvent, j’approfondis mes connaissances grâce aux wikis ! Le wikia français, et surtout son équivalent anglais (bien plus complet), ou encore l’excellent site de La Grande Bibliothèque de Tamriel !
Un exemple concret du travail de recherche : je n’avais jamais lancé Oblivion, ni mis un pied en Cyrodiil avant d’écrire Digne de vie, et sa séquelle, qui se passent justement à Bruma et Cheydinhal ! :smiley: Ce n’est qu’après avoir fini la première que j’ai osé lancer le jeu (qui pique les yeux tout de même :sweat_smile:)
Et tu sais, c’est pas grave si tu ne connais pas le fandom en long, en large et en travers ! Je suis parvenue à convaincre Maczin et à lui expliquer suffisamment de choses pour qu’elle lise Digne de vie, alors qu’elle ne connaissait rien, et pareil pour ensorceleurisee et ChiaraCadrich qui ont jeté un oeil à C’est naturel de rire, pour un bouffon sans forcément connaître non plus !
Je pense qu’à partir du moment où tu visualises un minimum les lieux, ou au moins les personnages, ça devrait suffire ! Et si toutefois tout ça ne te motivait pas à y jeter un oeil, c’est pas grave, il y a sûrement plein d’autres fanfics pour te divertir sur notre cher site adoré ! :stuck_out_tongue:

°

Pour la couverture, je me suis servie du site canva, dont myfanwi a parlé dans le topic hors-sujet Tirez la couverture à vous !
Quand on a pas de compte premium on peut assez vite se sentir limité, mais ça ne m’empêche pas de bien m’amuser et d’obtenir des résultats satisfaisants ! (ou au moins, qui me satisfont moi :stuck_out_tongue:)
Si jamais tu as besoin d’un petit guide pour t’en servir, je peux t’en bricoler un et te l’envoyer en privé à l’occasion, ou carrément le mettre en réponse au topic sus-nommé ! :smiley:

°

PS :

Rien que pour ça, tu as une place de choix dans mon coeur ! :smiling_face_with_three_hearts: Ca change de ceux qui l’ont tué impunément sans aucun remord ! :stuck_out_tongue:

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Mes parties sur Skyrim commencent sérieusement à dater, mais je me souviens avoir commencé une quête de la Confrérie Noire avant de tomber sur un bug (comme il y en a des tonnes dans ce jeu :rofl:)
qui m’a complètement bloqué la quête en question.

A vrai dire, c’est pareil pour moi avec Bioshock, je regarde beaucoup d’informations sur les wikis français et surtout anglais qui sont bien plus complets. Mais à côté de ça, il m’arrive de temps en temps de refaire les jeux pour le plaisir :smile: mais aussi pour me remettre dans l’ambiance.

Je ne sais pas si je vais créer un compte premium, mais je vais peut-être faire un tour sur le site, voir comment ça fonctionne. Après, un guide ne serait pas de refus ! :wink:

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Quand j’ai voulu reprendre le jeu il y a quelques mois (voire peut-être un an ? :thinking:), je ne pouvais même pas passer la scène du billot, le condamné qui doit passer avant le joueur de bougeait pas d’un iota… :sweat_smile:
Puis je suis passée sur la Special Edition, et là, pratiquement aucun bug ! :smiley:

C’est exactement la marche à suivre, à mon sens ! Surtout dans un jeu comme Bioshock, où c’est vraiment prenant. La claustrophobie que provoque ce jeu (ça n’arrange pas ma peur des profondeurs maritimes) est tellement saisissante, c’est toujours un plus de pouvoir remettre le nez dedans pour mieux retranscrire les émotions, les sentiments… :smiley:

Pour te donner une idée, je me débrouille avec un compte standard (juste avec mon adresse mail, sans avoir payé) et je pense m’en sortir plutôt bien ! C’est frustrant quand tu vois des polices d’écriture jolies qui sont premium, mais tu fais avec et trouves autre chose… x)

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Juste un petit grain de sel, car j’ignore tout de ce fandom…
Le titre ne sonne pas génial à l’oreille. Bien sûr c’est subjectif. Cette belle couverture avec cette répétition, là…
L’homme sans refuge ? L’homme privé d’asile ?
Peut-être que ces variantes n’ont aucun sens dans le fandom…

Vous ici ? Décidément, vous allez partout ! :smiley:

Plus sérieusement, ce n’est que maintenant que je me rends compte de la répétition du son « san » (où est mon clavier phonétique quand j’ai besoin de lui ?), et… c’est vrai que ça fait un peu moche. :sweat_smile:
C’est pour ça que je préfère parfois le japonais.
À moins de paraphraser… « L’homme qui n’avait plus de sanctuaire » ou un truc du genre, ça risque d’être compliqué. Je ne peux pas me séparer du terme de « sanctuaire », c’est comme ça que se nomme ce « refuge » si l’on peut l’appeler ainsi… :thinking:
Je vais essayer d’y réfléchir, et cette fois-ci en testant les sonorités de vive voix !
Merci pour cette remarque qui, comme très souvent venant de toi, est très constructive !

(Il faudrait que j’investisse dans la construction d’un gueuloir, tiens.)
(Et si j’ouvrais un tipee ?)

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Coucou
Je ne dis pas toujours grand chose (ah bon ???) par rapport aux titres parce qu’il est de notoriété publique que je râle déjà, de façon générale, après les pitchs insipides… :angel:

Je n’ai pas lu la fic (je ne lis pas de fantasy) et c’est handicapant pour la pertinence mais… … :smiley: tant pis.

Est-ce qu’on connaît le roman « L’enfant qui était sans famille » ? Non, c’est « Sans famille ».
Dans ce registre on pourrait avoir « Privé de sanctuaire » même si ce titre évoque pour moi un possible polar. Ou un enfant pas sage privé de dessert.

On a aussi la version Hitchcock : « Pas de sanctuaire pour Cicéron »

« L’homme qui » m’évoque (bien sûr ?) Voulut être roi, tuer Liberty Valence, tombe à pic, murmurait à l’oreille des chevaux, etc.
Dans ce registre « L’homme qui n’avait plus de sanctuaire » pourrait faire l’affaire.


Mais trêve de plaisanteries. Il faut passer à la vitesse supérieure.
Si le résumé est correct et suffisant :smiley: cela parle d’un homme qui quitte son sanctuaire pour aller ailleurs avec un cercueil (vide ou plein ? Le sien par prévoyance, celui d’un autre par devoir ?).

Celui qui ne sait pas où il va est un vagabond plus qu’un voyageur, mais le premier a du charme. « Le vagabond à la charrette » évoque la figure plus prestigieuse de « Chevalier à la charrette » (c’est à dire Lancelot).

Autre piste (hé hé), la route elle-même qui évoque ce voyage. « D’Aubétoile à Épervine ». « Sur la route du dernier sanctuaire / du dernier sanctuaire de Bordeciel »

On peut parler de sa destination certes, ou alors… d’où il vient (cela dépend s’il est toujours centré sur le passé ou déjà projeté sur le futur).
Par exemple, s’il quitte un endroit qui le protégeait pour s’aventurer vers cette nouvelle destination aussi inconnue qu’incertaine, il peut se qualifier de « Vagabond sans étoile ».
Ainsi, je recyclerais mon voyageur errant, jouant un peu sur Aubétoile / étoile, et ça recentrerait sur le protagoniste lui même, plutôt que sur ce qu’il pourrait vivre… « Sur le chemin d’Epervine ».

Un truc dans le genre, parce que je fais partie des lecteurs qui sont là pour rêver. Tout titre un peu poétique me parle plus, pour une forme d’aventure qui aurait une portée « intérieure » ou soyons fous, initiatique. :smiley:

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:joy:
Le destrier d’Oldie est en forme, ce matin !

Je propose « Le sanctuaire intérieur » en n’ayant rien lu du sujet.
Genre finalement il l’a avec lui.

:musical_note: Avec sa maison sur le dos, comme un escargot ! :notes:

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