Donc, voici ma première contribution (mes citations préférées des fics d’OldGirl)… Je n’ai pas tout mis, loin de là ! Le tri a été diffiicile. 
“J’étais en train de chercher ce qu’était un « sasquatch »… Donc ce n’est pas un joueur de squash sarcastique…” ( The French Misstep )
“Il avait une bonne tête de comptable dépressif allergique au rasoir et le teint blafard d’un junkie en cure de désintoxication. Son costume était froissé au dernier degré et autour de lui pendouillait un imper douteux lui conférant vaguement un air tenace de Colombo fatigué…” ( L’Ange des Croisements )
“Ohé, appela Spike pas trop fort. On est là. Gémissez si vous nous entendez…” ( La vouivre des marais )
“Nonchalamment installé, l’agent J avait jeté son grand corps de coureur de fond dégingandé en travers du mobilier urbain. Il penchait sa tête rase en arrière selon un angle précaire, en quête des quelques rayons du tout premier soleil du jour, lunettes noires sur le nez. C’était ça ou bien il essayait de déployer plus encore les esgourdes monumentalement décollées dont la Nature prudente avait jugé bon de l’affubler, et ce pour compenser la prestance que lui conférait son costume d’Invisible. Mais K s’en contrefoutait totalement.” ( Légende urbaine )
“Les ■■■■■■■■ n’arrivent jamais seules. Elles vont toujours par trois, c’est d’ailleurs pour ça qu’on leur met un pluriel quand on en a l’expérience. Capitaine, capitaine, les stabilisateurs inertiels sont en panne complète, c’est la tuile, on venait juste de les remplacer ! La tuile ? Non Scotty, ne sentez-vous pas venir à plein nez le vent mauvais des ■■■■■■■■ ?.. Faites confiance à mon nez, il a de l’expérience.” ( La Kirkissée : le Cyclope )
“Kirk n’arrivait jamais à croire qu’on puisse le surprendre à flirter gentiment pendant le service. Ses yeux clairs à la teinte nuageuse incertaine, s’arrondissaient toujours en affichant cet air innocent qui avait dû rendre certains de ses professeurs complètement dingues (à l’Académie et avant) et qui signifiait peu ou prou : “Qui, moi ? Qu’est-ce que j’ai encore fait ?”” ( La Kirkissée : le Cyclope )
“Et ça c’était tout Spock. Insupportable quand il était là, et ■■■■■■ quand il ne l’était pas !..” ( La Kirkissée : le Cyclope )
“Mon nom ne vous dira probablement rien : je m’appelle Robert Oppenheimer. Et j’ai une nouvelle qui va faire l’effet d’une bombe…” ( Les chatons dans l’espace )
“Car le capitaine James T. Kirk, s’il est un dieu vivant à bord de l’Enterprise, et contrairement à tous les dieux vivants que le vaisseau a pu croiser auparavant, s’interdit de coucher avec quiconque sous ses ordres. Les jalousies, ça mettrait une mauvaise ambiance. Aussi se voit-il contraint de se rattraper comme il peut avec toutes les bombasses aliènes aux tenues minimalistes qui se jettent en travers de sa route pour se pendre à son cou. Car voyez-vous, l’Univers compatissant a conscience de son problème et lui en envoie régulièrement. Non, pas une par mission, ça finirait par se voir. Mais pendant que je bavarde, notre Adonis s’impatiente.” ( Where no man has gone before )
“Il déboule à la porte qui s’ouvre avec le chuintement couiné habituel et il trouve un Scotty raide derrière son pupitre, en train de regarder un paquet qui s’est matérialisé dans l’un des emplacements ronds où les trucs se matérialisent. Jamais à côté ou au milieu n’importe où. C’est bien fait.
– Mais qu’est-ce que c’est que ça ? demande le capitaine.
– Je n’en sais rien du tout ! se défend Scotty, outragé qu’on ose croire qu’il a des dons de divination.” ( Where no man has gone before )
“Quel degré de schizophrénie était donc atteint, selon les standards terriens, lorsque l’on commençait à devenir insidieusement jaloux de soi-même ?” ( Deep Space Ten )
“Ils avaient beau exécuter ces missions sans jamais rien en retirer, savoir que des militaires entraînés poussaient des couinements de fillette juste au-dessus d’eux, à cause de l’accueil pas très chaleureux des habitants, ragaillardissaient leurs petits egos secrètement blessés par l’indifférence du monde.” ( New Orleand Haunted Tour )
“On aurait cherché en vain sur lui la moindre goutte de transpiration – une plaie humiliante parmi de nombreuses autres tares que la condition humaine souffrait stoïquement jusqu’à la trouver « normale ». A son avis, Dieu aurait connu une rébellion d’un tout autre calibre si les anges avaient dû endurer une seule de ces infirmités eux aussi.
Evidemment, cela pouvait arriver. En cas de mauvais sort lancé par une puissante sorcière. Ou d’empoisonnement foudroyant par le venin d’une arme spéciale, ou ce genre de choses qui en général ne courait pas les rues, mais en particulier remplissait son quotidien depuis qu’il servait de mascotte aux Winchester.” ( Pas de repos pour les braves )
“- Je sais ce que tu penses, dit Sam. Il va pas bien et il ose pas le dire.
Dean considéra son cadet d’un air navré pendant qu’il reposait tout son barda d’armes sur une des tables toutes proches en les alignant proprement.
-Non mais tu me connais pas du tout en fait. Moi j’étais juste en train de penser « mais où est donc cette brioche ? »” ( Pas de repos pour les braves )
“- Vraiment ? Vous êtes ami avec le roi des Enfers… Belzébuth ? Comment se porte-t-il ?
-Euh… Non il s’appelle Crowley. En général, il se porte bien quand il est… insultant, sarcastique, embarrassant et incroyablement narcissique. Je le déteste mais je suis bien obligé de travailler avec parfois.” ( Pas de repos pour les braves )