Bonjour à tous,
Un sujet amusant et créatif.
Je ne n’y avais jamais pensé…
Vous leur avez consacré du temps. De quelques heures à des années. Mais vous êtes-vous déjà demandé :
Y a-t-il une autre vie pour eux après le mot FIN?
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Hihihihi
Trop drôle !
Alors, je pense que mes personnages, enfin, ce ne sont pas vraiment les miens puisque je ne fais que de la fanfic, vont tout simplement DORMIR et MANGEEEER ! Et autres besoins essentiels … je ne leur laisse pas de répit ! 
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hé bah je propose de lancer un topic exprès pour répondre à cette question xD en vrai, ça pourrait être tellement intéressant ça 
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Intitulé du prochain défi ?
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Je suis d’accord, les miens vont prendre des vacances, se la couler douce.
Pas se lever le matin, parler par borborygmes monosyllabiques.
Et être heureux !!! 
Edit : si vous êtes comme moi et que vous avez passé vraiment beaucoup de temps avec eux… Vous les réembauchez parfois aussi pour le tome 2 ! 
Et si vos personnages, OC ou canon, sont appréciés, vous pouvez avoir des réactions du type :
Quoi ? Il s’est passé 4 mois / 7 ans entre les deux chapitres ? Mais pourquoi on n’a pas eu le droit de savoir ce qui leur est arrivé pendant ce temps ? 
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Ah, je suis pas le seul à y avoir pensé !
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Cette réflexion me rappelle la trilogie Cœur d’Encre de Cornelia FUNKE. Où les personnages du livre sont bien vivants !
Pour ma part, ils restent bien actifs (pour ceux qui ont survécu…) et continuent simplement leurs aventures sans moi. Comme si mon récit n’était qu’une caméra à un instant T de leur vie.
Qui sait comment je les retrouverai la prochaine fois !!
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Haha, j’aime ce sujet xD
De mon côté, dans le cas où ils s’en sortent vivant (rien n’est moins sûr ), je dirai que la plupart continueraient leur vie avec leurs traumatismes et cicatrices. Et puis, 'façon, au bout d’un moment, la mort, naturelle ou non, se chargera d’eux 
Plus sérieusement, vu que j’ai une grande affection pour les fins douces-amères, les personnages restant seraient du genre à prendre le large et s’isoler loin de tout, conscients que plus rien, du moins pour eux, ne sera jamais pareil ^^
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Un peu, ouip ^^
Pour ma part, du coup, je pense qu’ils pousseraient un immense soupir en mode « ouf, c’est ENFIN terminé !!! » et ils prendraient tous des vacances dans un coin tranquille x)
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Haha, excellente question !
Parce que vous vous imaginez que vos personnages ont une vie après vos histoire ? 
Plus sérieusement, je dirais que la leur continue, tout simplement. Selon les histoires, comment elles se goupillent, si ce sont des OCs ou des personnages canons, eh bien les choses se poursuivent « comme il faudrait ».
Puisqu’on est jamais à l’abri d’une suite à mes fanfictions… on peut dire qu’ils sont toujours en sursis, qu’ils attendent la redoutable lettre qui leur dira « Félicitations ! Vous êtes convié.e.s à rejoindre la nouvelle fanfiction de BakApple ! », et ils savent pertinemment qu’ils auront beau la jeter au feu, il leur en parviendra des dizaines de milliers d’autres…
Donc ils profitent le plus possible de ces moments de tranquillité, hors de ma plume (plutôt, mon clavier) qui les condamnera à toujours plus de souffrances psychologiques et physiques…
(C’est déjà un peu le cas entre deux chapitres, quand je mets mille ans à les écrire… je me demande comment est leur perception du temps, à quel point elle est relative ? 
)
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Perso, je pense qu’une fois qu’on referme le livre (ou du moins leur partie de l’histoire), ils se contentent de garder leur statu quo aquis via leurs aventures et finissent tranquillement leur vie.
Par contre, le plus fun, c’est quand on revient des siècles après leur disparition et qu’on essaie de découvrir qui ils étaient!
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C’est une drôle de question, intéressante mais drôle… J’ai du mal à mettre le mot fin sur une histoire, j’imagine toujours la vie des personnages jusqu’au bout ou presque même ce qui n’est pas intéressant.
Donc ce n’est pas difficile pour moi d’imaginer la suite, ce qui est difficile c’est de ne plus l’imaginer et de leur rendre leur liberté…
Comme je n’écris pas suffisamment (j’allais dire beaucoup mais ce serait abuser) mais surtout que je publie peu, je ne peux pas m’empêcher de me dire que mes personnages mourront avec moi dans ma tête et que ce sera comme s’ils n’avaient jamais exister. Ça me rend super triste. Du coup, j’essaye de glisser un maximum de personnages secondaires qui ont leur propre histoire à côté, même si je ne la publie pas ou que je ne l’écris que partiellement, les lecteurs qui les apprécient peuvent s’imaginer ce qu’ils veulent. Ça laisse une trace.
Désolée pour le message déprimant
Par contre je m’imagine souvent mes perso débarquer dans le monde réel et découvrir qu’ils sont des héros de fictions, un peu comme dans Last Action Hero. Je les vois bien m’engueuler :
« Quoi ?!? Mais du coup c’est de ta faute s’il m’est arrivé toutes ces ■■■■■■ ?!? Et pourquoi je ne suis pas plus beau, plus grand, plus riche et plus intelligent hein ?!? »
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Si cela venait à arriver… j’ai bien peur de ce que je deviendrais… 
Je les fais tellement souffrir, ils m’en voudraient à mort, et mettraient en pratique l’adage « oeil pour oeil, dent pour dent »…
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Ah cette fameuse question ! Ben… moi j’ai beaucoup de mal à les laisser tranquille. Je reviens toujours à eux, surtout quand j’ai cette sensation de « j’en veux encore ». Cette question commence déjà à me hanter pour ma fiction originale La Fuite. Je n’ai pas encore terminé d’écrire le roman, que j’ai déjà un sensation d’inachevée. Je veux toujours plus. Et je suis en train de me demander si un tome 2 ne serait pas si stupide… Ou peut-être que si.
Donc j’écris deux-trois idées pour la suite et si j’arrive à obtenir assez de matériel pour un second tome, je crois que mes personnages reviendront en action.
Ce problème je ne l’ai pas que pour cette fiction là, mais pour toutes ! Que ça doit être saoulant d’être l’un de mes personnages, ne jamais pouvoir prendre sa retraite. Pauvres eux.
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J’imagine déjà bien la chose. 
Quelques des acteurs qui jouaient des rôles phares de ce j’écris vont être invités dans un Late-Night Show Américain pour venir exprimer leurs ressentiments après avoir été séquestrés durant toutes ces années.
Ils vont partager à quel point ç’a pu être traumatisant, d’avoir été éloigné des leurs de forces pendant tout ce temps, de la libération que ça représente d’enfin pour agir normalement.
Fini le maquillage, les prothèses et les costumes douteux! Les scènes d’action à s’en briser tous les os du corps vont être derrières eux. Terminé pour certains acteurs de devoir simuler un amour avec des personnes qu’ils détestent en réalité. Le grand méchant de mon histoire va partager la chute psychologique que ça représente d’avoir été détesté par autant de personnes, à quel point ça l’a brisé moralement pour le reste de ses jours. D’autres acteurs vont douter être vraiment libre, à en devenir paranoïaque, croyant toujours devoir jouer un rôle.
Ils vont pouvoir enfin me dire mes quatre vérités car, le pire dans tout ça, c’est que je ne les ai jamais payé dans toute cette histoire! Ce n’est qu’une Fanfiction, par ailleurs, ça ne se retrouvera jamais sur une quelconque tablette. Aucune visibilité pour de prochains rôles, leur carrière en tant qu’acteur va être anéantis.
Ils vont se rendre compte que ç’aura été stupide de signer un contrat avec moi puisque, de toute manière, même à la fin, ça ne sera jamais vraiment terminé pour eux. 
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Dès que j’ai vu ce sujet, j’ai su qu’il était pour moi, ah ah !
« Y a-t-il une autre vie pour eux après le mot FIN? »… J’ai envie de dire qu’il n’y a de fin que pour ceux qui veulent une fin !
Même une fois « l’histoire » finie, rien n’empêche d’écrire des OS, side-story, dérivations, etc. juste histoire de retrouver nos personnages favoris !
D’ailleurs, en ce qui me concerne, je n’envisage jamais de réelle fin, j’ai toujours plein d’idées d’aventures pour eux, envie d’écrire sur eux ou de les dessiner, donc finalement, leur repos est loin d’être éternel 
.
Voilà ma pensée parfaitement résumée !
Dernièrement, je lisais La vie secrète des écrivains de Guillaume Musso (j’entends vos cris indignés : « Comment ?! Une littéraire angliciste comme toi devrait lire du Shakespeare et du Woolf à longueur de journée ! », mais laissez Hamlet et Mrs Dalloway en paix, que je puisse terminer).
Donc, à un moment, l’un des protagonistes, Raphaël Bataille, demande en gros à un romancier, Nathan Fawles, ce qu’est être écrivain, ce à quoi ce dernier lui répond :
– Romancier, ce n’est pas un boulot à mi-temps. Si tu es romancier, tu l’es vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Tu n’as jamais de vacances. Tu es toujours sur le qui-vive, toujours à l’affût d’une idée qui passe, d’une expression, d’un trait de caractère qui pourrait venir nourrir un personnage.
Je trouve ces propos d’une incroyable justesse. Notamment par leur véracité.
Pour moi en tout cas, c’est comme ça. Que l’histoire de mon perso soit finie ou pas, je suis toujours en train de chercher d’éventuelles nouvelles choses auxquelles je n’avais pas pensé et qui alimente une backstory d’un protagoniste/antagoniste.
Oh mon dieu.
J’adorerais rencontrer mes personnages en vrai, et puis, va savoir pourquoi, je pense à ce cas de figure, et je me dis « non, finalement vaut mieux pas… 
».
Prions pour que ça n’arrive jamais. J’en connais une ou deux (avant que ce ne soit carrément un bureau des réclamations qu’il faille ouvrir) qui m’en voudraient à mort si elles débarquaient dans la vraie vie et se rendaient compte de qui je suis.
Bon, je crois que j’ai dit l’essentiel ! Si d’autres veulent partager leur opinion (après tout, on a eu pas mal d’arrivées de nouveaux membres, dernièrement) je leur laisse volontiers prendre la suite !
… Sinon, ce sujet retombera dans les oubliettes de l’histoire et je me garderai alors bien d’en déterrer de nouveaux. Ça me servira de leçon 
(même si pour ma défense, 11 mois c’est pas si vieux).
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Surtout pas ! Déterre, déterre ! Ça fait toujours plaisir à lire !
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Je me suis sentie attaquée là.
Non, parce que cette fanfiction qui devait être un OS et qui a fini en fic à six chapitres, puis douze après la réécriture, a quand même ouvert la porte pour que sept autres fanfics prennent le relai, tour à tour. Ca fait deux ans et demi, j’en vois pas le bout, j’ai dû faire prendre des tickets à mes idées pour avoir le temps de les gérer… 
(sans mentionner les autres dans les autres fandoms qui viennent s’y greffer d’une façon ou d’une autre…)
Donc en fait je réitère ma première réponse à ce topic : leurs vies continuent, suivent leur cours, et à un moment donné je viendrai croiser leur route pour me concentrer dessus et l’étoffer.
Des fois je remonterai le temps pour écrire sur eux dans leur passé (si tant est que j’écris leur « présent » dans mes fanfics), des fois je laisserai s’écouler des mois et des années…
On a cet avantage que leur vie ne subisse pas les affres du temps comme nous, et on peut les laisser patienter pendant des mois ou des années, c’est comme si quelques heures se sont écoulées pour eux… 
.
Autant je n’aime pas des masses Musso et ses romans, autant je trouve que c’est très très juste. C’est exactement mon ressenti : je ne peux jamais me poser, me reposer et me détendre, parce que je sais que là, tapie dans l’ombre, l’idée guette. Un rien peut me faire penser à mes fics en cours, futures ou passées, et me donner envie de m’y remettre…
(et vas-y Marie, continue de déterrer, ça fait toujours plaisir, surtout quand c’est pertinent !)
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Viens du côté obscur des fanfics fleuves… 
Je vais encore partir en hors sujet, mais de mon point de vue nombre de métiers sont comme ça ou devraient être comme ça si les gens sont compétents et aiment leur job.
Évidemment ça ne s’applique pas aux ■■■■■■■■ jobs mais bon.
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J’ai beau aimer travailler à l’usine (quand tout s’y passe bien), je n’apprécie pas du tout y penser 24/24 même les week-ends
En revanche, j’adore l’idée de pouvoir librement penser à mes écrits passés, présents et futurs, vu que c’est quelque chose que je fais par plaisir, pour moi, et pour m’éclater.
(ça dépend de la conception du travail, mais j’envisage ça comme un simple gagne-pain)
Hop, fin de la parenthèse
Ça rigole, ça rigole, mais en discutant avec cette chère Panda je me retrouve à avoir toujours plus d’idées concernant mes personnages.
Ce qui fait que j’ai virtuellement, dans ma tête, un carnet rempli d’anecdotes sur mes OCs (et parfois même sur des personnages canon) qui, très certainement, ne seront jamais mentionnées dans les fics où ces personnages apparaîtront…
Ils auront beau tenter de me fuir, je les rattraperai toujours, les pauvres… Leurs histoires ne sont jamais réellement terminées !
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